Dernière “femme de mars”… Je tenais à conclure une série qui pourrait ne pas avoir de fin avec l’autrice de Fifi Brindacier. Ma copine Fifi. Qu’est-ce que j’aurais aimé vivre ses aventures, avec cette liberté ! Je me souviens avoir essayé de me faire des tresses comme celles de Fifi, et de ma déception en voyant que mes tresses non seulement n’étaient pas rousses mais surtout ne tenaient pas en l’air, comme les siennes…
Le monde entier est rempli de choses qui n’attendent que d’être trouvées.
Difficile de faire un portrait en trois vidéos d’Astrid Lindgren, très peu de vidéos sont traduites en français ou en anglais. Et le documentaire qui lui a été consacré par Arte n’est accessible qu’en allemand. Dommage. Je sais si peu d’elle, de son œuvre. Sauf qu’il me reste beaucoup à lire, les histoires d’Emil lourdement appelé Zozo en France, celles de Karlsson sur le toit, Les Enfants de Bullerby… Des romans à lire d’un trait avant d’envisager un voyage en Suède, aller toquer à la porte imaginaire d’Astrid Lindgren et la saluer.
— Pourquoi marches-tu à reculons ?
— Pourquoi je marche à reculons ? C’est un pays libre, non ? J’ai le droit de marcher comme ça me plaît !
Une biographie est annoncée chez Gaïa à l’automne. On l’attendra…
Fifi joue au dragon
Une mère et sa fille
Sa vie (en allemand)
© photo non trouvé, une photo de 1968.