atelier,  lecture,  résidence

La maison des utopies

Lancement d’une résidence

Une résidence, ma première résidence. Mais une résidence en duo, avec ma complice Carole Chaix, et sur des terres connues, celles des Nomades du livre, autour de Carpentras. Elle aura lieu en 2016 et fait suite à la résidence de Carole en Erdre-et Gesvres. Les portraits, les paysages que Carole a rapportés des bord de l’Erdre sont le terreau d’une future BD, L’aube verte.

La résidence avec les Nomades est une pousse surgie au pied de ce projet, une envie de parler de territoires, de voyages, d’utopies, aller même jusqu’à inventer une carte des utopies et en faire un jeu, un objet prétexte à rêveries, à réflexions sur nos territoires, nos futurs.

Bref, vendredi 9 octobre, la “boutique éphèmère” de Carpentras devenait la “maison des utopies”.

Des ateliers

Avec une journée d’atelier pour commencer. Silhouettes aux murs, mots lâchés sur les feuilles, dans les carnets, un brin de vie devient fiction, des phrases envahissent des maisons de calque, lampions balancés au gré des fils rouges qui tissent ce lieu, peu à peu, le préparent à muer… d’éphémères en utopies.

Une lecture

Au tombé du jour,  ouverture de ce nouveau lieu. Une fois le cordon coupé, une lecture surprise en duo avec Carole, musique et dessin sur un texte inédit, une sorte de prologue à L’aube verte. En direct devant le public des Nomades, au cœur de cette maison des utopies naissait… Rémi.

 

La maison des utopies.Installation de la vitrine.Préparation des murs.Le mur de portraits de Carole Chaix.Bientôt sur la route des utopies.Du fil rouge pour tisser un lieu.Des Nomades à l'écriture…Des Nomades sérieuses…… pensives.… joyeuses !Des Nomades en silhouettes.Et des maisons de calque à bâtir.Des maisons suspendues.Pendant le discours d'Hélène.Thierry Magnier en maître de cérémonie.Un enfant pour couper le cordon.Carole Chaix au dessin.Une foule en colère.Cécile Roumiguière en lecture.Rémi, un personnage se dessine.Le salut en fin de lecture.Le public.Carole en dédicace.

 

Photos ©Jacques Prat-Delavière et Hélène Delbart (merci !)