Pendant le confinement, des projets ont germé, grandi. Quand Nathalie Novi m’a proposé de lancer un cadavre exquis de mots sur une fresque faite à plusieurs mains et ensuite enrichie de papillons, fleurs… dessinées par vous tous et toutes que nous croisons autour de nos livres, j’ai trouvé l’idée riche de sens : travailler ensemble, d’abord, dans un moment où l’on était chacun chez soi, reclus. Ensuite, dire que l’on était là, nous artistes, en éveil, dans cette période si étrange. Et garder trace aussi de ce temps hors du temps.
Une quinzaine d’artistes du côté de l’image, une trentaine pour les mots, le projet avance à grands pas ! Une même aventure a lieu en même temps à Dublin. La fresque sera exposée dès l’automne.
Vous en saurez plus dans cet article.